A l’image des adhésions obligatoires à une mutuelle dans le privé, la Fonction publique et l’Éducation nationale particulièrement imposeront un contrat obligatoire à tous les personnels, titulaires ou non au 1er janvier 2025.
La compensation sera une contribution à hauteur de 50 % de l’adhésion par l’État employeur.
La phase transitoire a déjà débuté avec la restitution de 15 euros si on est adhérent.e à une mutuelle de son
choix. Mais à terme (le 1er janvier 2025), l’opérateur choisi par le ministère, une mutuelle ou une assurance (la MGEN n’a aucune garantie « d’emporter le marché ») rompra automatiquement les engagements individuels pris avec un autre prestataire.

Le ministère établit actuellement le cahier des charges pour l’appel d’offres afin de désigner pour janvier 2024 l’unique opérateur qui prendra en charge plus de 4 millions de personnes. Le SNES national avec la FSU participe aux concertations et agit en intersyndicale pour que la prévoyance (la couverture en cas
d’arrêt maladie long) soit rétablie dans la couverture de base pour éviter d’ajouter aux problèmes de santé des problèmes financiers parfois insurmontables.
Le plafonnement des adhésions des retraité.es, seul.es adhérent.es volontaires, est aussi notre priorité.